Divertissement

Cette série de super-héros animée est la meilleure émission que vous n'avez pas regardée sur Max

Que vous pensiez que la bulle de super-héros a éclaté ou nonil est juste de dire que très peu en termes de genre peut vraiment être considéré comme “roman” ou “push des limites” … mais laissez-le “Harley Quinn”, l'émission animée sur certains des méchants les plus méchants de DC, à Continuez à affronter cette tendance. Tout comme son personnage de titre, l'arc de la série de streaming n'a guère été conventionnel. Débutant à l'origine en 2019 sur un service autonome oublié depuis longtemps connu sous le nom de DC Universe (ce n'était pas très impressionnant, Comme notre examen à l'époque s'est avéré), la série a survécu à ce déménagement à ce qui était connu à l'époque sous le nom de HBO Max avant de finalement trouver une maison sur Max. Maintenant, se déroulant pendant cinq saisons fort, “Harley Quinn” devrait prendre son swing le plus gros et audacieux à ce jour. Et, honnêtement, cela devrait faire beaucoup Plus de bruit de culture pop qu'il ne l'est actuellement.

Pour les téléspectateurs qui se rattrapent toujours, vous n'avez même pas besoin de creuser très profondément pour comprendre l'attrait de “Harley Quinn”. Prenez le casting de voix ridiculement empilé du spectacle, dirigé par un Kaley Cuoco parfait pour la hauteur comme Harley et y compris les goûts de Lake Bell, Alan Tudyk, Ron Funches, Tony Hale, Jason Alexander, Giancarlo Esposito, et beaucoup d'autres mettrant des tours uniques Archétypes bien usés. Ensuite, il y a la mentalité de “ne pas prendre de prisonniers” qui met même “Deadpool” et ses bouffonneries à la honte, en plaçant tout le monde de Zack Snyder à James Gunn lui-même dans ses vues cibles. Mais même au-delà de tout cela, la méchante irrévérencieuse et grossière au cœur de la série pourrait même rivaliser avec son homologue en direct (avec tout le respect dû à Margot Robbie et aux divers cinéastes avec lesquels elle a travaillé pour apporter sa version de Harley Quinn à la vie ). Commençant la première saison embourbée dans une relation toxique et codépendante avec le Joker abusif (Tudyk), son voyage a abouti à La propriété rare avec le courage d'adapter sa romance torride avec un autre supervillain Poison Ivy (Cloche).

Avec la saison 5 en première en janvier dernier et pas seulement en continuant à cliquer sur tous les cylindres, mais aussi à ébranler le statu quo en déplaçant entièrement l'action de Gotham City, il est temps que nous ayons donné “Harley Quinn” et sa (relativement) sous la -Radar joies les fleurs qu'ils méritent si richement.

Harley Quinn aime DC … même s'il le satire

Pourquoi “Harley Quinn” fonctionne-t-elle si bien alors que tant d'autres propriétés de super-héros ces dernières années ont échoué? C'est une question que je me pose depuis que je me suis fait aspirer dans ce petit coin unique de la franchise DC. Je n'ai jamais regardé une seconde de “Peacemaker”, ” Je maintiens une bonne dose de scepticisme en ce qui concerne “The Fantastic Four: First Steps” de Marvelet si le “Superman” de James Gunn ne m'épouture pas, eh bien, cela enroule à peu près. Que reste-t-il avec impatience, au-delà de la suite “The Batman” de Matt Reeves, le délai perpétuellement? Et pourtant, je reviens toujours à “Harley Quinn”, de toutes choses, année après année.

Ce n'est certainement pas parce que ce scénario riche en crossover met l'ensemble de l'univers DC à portée de main, permettant à un épisode donné de suivre les exploits d'un perdant comme Kite-Man (Matt Oberg), consacrer d'énormes morceaux d'une Saint-Valentin spéciale à un Bane super-corne (James Adomian), ou concentrez-vous sur le lierre de poison qui reprend la légion de Doom de Lex Luthor (Esposito). Après tout, Malgré la promesse de la bande-annonce “Superman”Je ne ressens que l'épuisement pur à l'idée que Gunn lance plusieurs personnages côté cc que je ne me soucie pas – quelque chose que je n'ai jamais vécu en regardant “Harley Quinn” tirer plusieurs personnages D-list de son chapeau . Il ne peut pas juste être l'idée que le moyen de L'animation se prête si naturellement au monde des super-héros et de leur galerie de voyous, comme le prouva si définitivement les films “Spider-Verse”bien que cela aide certainement! En effet, “Harley Quinn” est tellement en phase avec son style d'animation qu'il peut plier les limites de l'action hyper-violente et des rires qui font gut une égale mesure, trouvant des punchlines et des sensations créatives que ses frères d'action en direct ne peuvent tout simplement pas rivaliser avec.

Non, la sauce secrète de “Harley Quinn” est le fait que la série porte son amour pour DC sur sa manche … même s'il satire vicieusement la franchise à un pouce de sa vie. L'incapacité dysfonctionnelle de la famille des chauves-souris et l'incapacité de Bruce Wayne (Diedrich Bader) à surmonter son traumatisme d'enfance sont une cible fréquente de blagues, tout comme les ambitions d'acteur de Clayface (Tudyk) et les responsabilités royales de King Shark (Funches). À chaque étape du chemin, cependant, ces détours loufoques ne font que renforcer ce qui rend ces personnages si aimables en premier lieu – une astuce magique que peu d'autres rivaux ont jamais réussi.

La saison 5 de Harley Quinn est aussi hilarante, violente et sincère que jamais

Nulle part “Harley Quinn” n'affiche un meilleur équilibre entre ses grandes ambitions que dans la saison 5. Seuls trois épisodes ont été diffusés au moment de la rédaction du présent. Schumacker et Dean Lorey n'ont pas perdu une seule étape. Bien que aussi net et plein d'esprit, la série continue de trouver le terrain parfait entre la satire impitoyable et un cœur battant.

En fait, les trois premiers épisodes sont une vitrine appropriée pour tout ce dont cette série est capable. La première de la saison 5, intitulée “The Big Apricot”, est à la hauteur du battage médiatique en retirant Harley et Ivy des confins familiers de Gotham City et en les jetant dans la ville sœur de Metropolis beaucoup plus glamour – une décision risquée qui se traduit par des conséquences et des changements réels. Utilisant le cliché d'un couple à long terme qui est tombé dans une ornière comme tremplin, rédacteur d'épisode Jamiesen Borak et réalisatrice Diana Huh tissent sans effort ensemble la bande dessinée avec des émotions authentiques. Dans l'épisode 2, l'écrivain crédité Leslie Schapira et la réalisatrice Christina Manrique s'attaquent en quelque sorte à deux très différents histoires A et B: l'une impliquant Harley Quinn s'est inscrite à la baby-sitting pour le spawn incontrôlable de King Shark, et une autre intrigue beaucoup plus sombre s'est concentrée sur un ex meurtrier du passé d'Ivy d'Ivy . L'épisode 3 s'inspire ensuite du méchant révélé être “l'homme florronique” (exprimé par John Slattery) et augmente considérablement l'action de super-héros, libérant des batailles mentales psychédéliques et des séquences de frappe de tronçonneuse qui surclassent beaucoup de ses pairs. Et c'est avec taquine impliquant des personnages de fouet comme Red X (Très probablement Dick Grayson de Harvey Guillin), Braniac (Stephen Fry), et plus encore à venir.

Pris dans son ensemble (divulgation complète: j'ai regardé à l'avance et je peux confirmer que les épisodes à venir sont tout aussi grands), “Harley Quinn” la saison 5, nous prenons une batte de baseball à notre tête et nous oblige à apprécier un niveau de qualité que nous ne pouvons plus tenir pour acquis. Il y a des émissions de super-héros, puis il y a des émissions de super-héros qui valent vraiment notre temps et notre investissement. “Harley Quinn” fait partie de cette dernière catégorie, et nous espérons qu'il y aura beaucoup plus de saisons de sang, de sexe et de crimes sans excuse à venir.

De nouveaux épisodes de la saison 5 de “Harley Quinn” sur Max tous les jeudis.

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